Con motivo del 25N nuestra compañera Irene Leal del Dpto. de Francés ha planteado la proyección de un documental y su traducción posterior.
La violence conjugale,
physique et psychologique, ça existe aussi chez les ados: "On peut être
quand même assez blessé malgré notre âge"
Le centre d'appel
"écoute-enfant" reçoit de plus en plus d'appels concernant des cas de
violence conjugale au sein de couples d'adolescents. Celle-ci peut être d'ordre
sexuel, physique ou psychologique. Parmi les faits, le contrôle du GSM. Une
pratique assez fréquente, comme en ont témoigné plusieurs jeunes au micro de
Vincent Jamoulle pour le RTLINFO.
http://www.rtl.be/info/belgique/societe/la-violence-conjugale-physique-et-psychologique-ca-existe-aussi-chez-les-ados-on-peut-etre-quand-meme-assez-blesse-malgre-notre-age--728077.aspx
La violence conjugale existe aussi au sein des couples d’adolescents. Le
centre d’appel "écoute-enfant" attire l’attention sur ce phénomène.
Ils reçoivent de plus en plus d’appels, de jeunes filles, notamment, entre 16
et 18 ans, qui sont victimes de violences psychologiques, sexuelles ou
physiques de la part de leur petit ami. "On a des violences de type psychologique, c’est contrôler le GSM,
interdire les sorties, des insultes et caetera. Il y a des violences physiques,
où là on peut voir des gifles qui peuvent d’ailleurs être banalisées, on peut
voir des coups plus importants et des violences sexuelles", explique
Fabienne Glowacz, professeur de psychologie à l’ULG, au micro de notre
journaliste.
"J’ai jamais fouillé le GSM mais je serais
capable, je crois, de le faire"
Quand la violence s’installe dans le couple, chacun est souvent tour à tour auteur ou victime, qu’il soit garçon ou fille, et dans tous les milieux sociaux. Scénario récurrent et très actuel de violence psychologique : fouiller le GSM de l’autre, à son insu. "Pas moi, mais elle oui. Elle a fouillé dans mon téléphone. Y’avait les raisons"., confie un adolescent. "J’ai pris des protections contre, mais c’est vrai qu’elle a déjà essayé", explique un autre jeune homme. "J’ai jamais fouillé le GSM mais je serais capable, je crois, de le faire", admet une jeune fille.
"On peut être quand même assez blessé malgré notre âge"
"Ça a été beaucoup la jalousie, y’a des moments où on se sent quand même assez mal, et je pense parfois même mes grands-parents me disent, vous êtes jeunes, c’est pas grave, l’amour c’est pas comme si vous étiez adultes, mais en fait, on peut être quand même assez blessé malgré notre âge", explique l’un des jeunes. Et pour cause: "A l’adolescence, la relation amoureuse est généralement très très intense, et il y a vraiment un enjeu très important au niveau de la construction de soi, et la peur de perdre le petit ami ou la petite amie peut effectivement amener à des conduites de contrôle, de restrictions et de violences", explique la psychologie.
Quand la violence s’installe dans le couple, chacun est souvent tour à tour auteur ou victime, qu’il soit garçon ou fille, et dans tous les milieux sociaux. Scénario récurrent et très actuel de violence psychologique : fouiller le GSM de l’autre, à son insu. "Pas moi, mais elle oui. Elle a fouillé dans mon téléphone. Y’avait les raisons"., confie un adolescent. "J’ai pris des protections contre, mais c’est vrai qu’elle a déjà essayé", explique un autre jeune homme. "J’ai jamais fouillé le GSM mais je serais capable, je crois, de le faire", admet une jeune fille.
"On peut être quand même assez blessé malgré notre âge"
"Ça a été beaucoup la jalousie, y’a des moments où on se sent quand même assez mal, et je pense parfois même mes grands-parents me disent, vous êtes jeunes, c’est pas grave, l’amour c’est pas comme si vous étiez adultes, mais en fait, on peut être quand même assez blessé malgré notre âge", explique l’un des jeunes. Et pour cause: "A l’adolescence, la relation amoureuse est généralement très très intense, et il y a vraiment un enjeu très important au niveau de la construction de soi, et la peur de perdre le petit ami ou la petite amie peut effectivement amener à des conduites de contrôle, de restrictions et de violences", explique la psychologie.
Au départ,
les ados ne se sentent pas trop concernés. Pour eux, la violence en couple,
c’est plutôt une histoire d’adultes. Il leur faut du temps pour pouvoir en
parler. Un phénomène à ne pas dramatiser, à ne pas banaliser non plus.
Vidéo et article de RTLINFO
(www.rtl.be)
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LA VIOLENCIA
CONYUGAL, FÍSICA Y PSICOLÓGICA EXISTE TAMBIÉN ENTRE LOS ADOLESCENTES: “PODEMOS RESULTAR INCLUSO BASTANTE LASTIMADOS
A PESAR DE NUESTRA EDAD”
El centro de llamadas
“écoute-enfant” (escucha al niño) recibe cada vez más llamadas relacionadas con
casos de violencia conyugal en el seno de las parejas de adolescentes. Dicha
violencia puede ser de tipo sexual, física o psicológica. Entre los hechos, el
control del móvil destaca como una práctica bastante frecuente, como han
testificado varios jóvenes al micrófono de Vincent Jamoulle para la RTLINFO.
La violencia conyugal existe
también dentro de las parejas de adolescentes. El centro “écoute-enfant” llama
la atención sobre este fenómeno. Ellos reciben cada vez más llamadas de chicas
jóvenes, sobre todo entre 16 y 18 años, que son víctimas de violencias
psicológicas, sexuales o físicas por parte de sus novios. “Tenemos violencias de tipo psicológico, como
controlarles el móvil, prohibirles salir, insultos, etc. Hay violencias físicas
como tortazos que consideran más o menos banales, golpes más importantes y
violencias sexuales”, explica Fabienne Glowacz profesora de psicología en la
ULG, al micro de nuestro periodista.
“Nunca he cotilleado el móvil
pero creo que sería capaz de hacerlo”.
Cuando la violencia se instala en
la pareja, a menudo cada uno es a su vez autor o víctima, sea chico o chica, y
en todos los entornos sociales. Escenario recurrente muy actual de violencia
psicológica es cotillear, fisgar en el móvil del otro, sin su conocimiento. “Yo
no, pero ella sí. Ella ha mirado en mi teléfono. Y tenía sus motivos”,
confiesa un adolescente. “Tomé medidas
de protección pero es verdad que ella ya había intentado fisgar en mi móvil”,
explica otro joven. “Yo jamás he cotilleado el móvil pero creo que sería capaz
de hacerlo”, admite una joven.
“Podemos resultar incluso muy
lastimados a pesar de nuestra edad”.
“La culpa ha sido de los celos, hay momentos en los que uno se siente
bastante mal, y pienso en ello a veces, mis abuelos incluso me dicen, sois
jóvenes, no es grave, el amor no es como
si fuérais adultos , pero de hecho podemos resultar incluso bastante lastimados
a pesar de nuestra edad”, explica uno de los jóvenes.
“Para el adolescente, la relación
amorosa es generalmente muy muy intensa, y hay realmente un reto importante a
nivel de la construcción de uno mismo, y el temor de perder al novio o novia
puede efectivamente llevar a conductas de control, de restricciones y de
violencias”, explica la psicóloga.
En un principio los adolescentes
no se sienten muy afectados. Para ellos, la violencia en pareja es más bien una
historia de adultos. Les hace falta tiempo para poder hablar de ello. Un
fenómeno respecto al cual no hay que dramatizar pero tampoco banalizar.
Vídeo y artículo de RTLINFO (www.rtl.be) Cadena de Información Belga.
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